J'ai un mot à dire à ceux qui ne se soumettent pas à Ala. Je ne leur demande pas de changer d'avis ni de doctrine, juste de mourir.
Ceux que je ne peux faire plier par les mots le seront par ma lame.
Ce que pressent l'intelligence, ce que reconnaît l'esprit n'a jamais sa fin en soi. Mais l'intelligence et l'esprit voudraient te convaincre qu'ils sont la fin de toute chose; telle est leur fatuité. Cependant cete fin n'est seulement qu'un aspec d'Ala.
Intelligence et esprit ne sont qu'instruments et jouets; Ala se situe au delà, il voit par les yeux des sens et écoûte par les oreilles de l'esprit.
Ala est sans cesse à l'affût, aux aguets; il compare, il soumet, il conquiert, il détruit. Il règne sans partage, il est Maître.
Par delà de tes pensées et tes sentiments, mon frère, il y'a le Maître, puissant, un sage inconnu, Ala. Il habite ton corps, il est ton corps.
L'hérétique dit au fidèle : "Souffre à présent" Et il souffre et prie Ala pour ne plus souffrir
C'est à cette fin qu'Ala est.
Ala dit au fidèle : "Jouis à présent" Et le fidèle ressent la joie et prie Ala pour y goûter souvent encore.
C'est à cette fin qu'Ala est.
Je veux dire leur fait à ceux qui méprisent Ala. Leur mépris est la substance de leur respect. En méprisant Ala, ils placent leur respect pour lui au dessus de tout, incapables de l'exprimer. L'adoration d'Ala est inévitable, soumettez vous ou mourrez.
Mais qui a donc créé estime et mépris, valeur et volonté ?
Ala créateur, un autre de ses aspects a créé à son usage respect et mépris, il a créé à son usage la joie et la peine. Ala créateur a formé l'esprit à son usage pour être la main de son vouloir.
Jusque dans votre folie et dans votre mépris, contempteurs du corps, vous servez Ala. Je vous le dis, c'est en vous détournant d'Ala que vous mourrez, vous ne créerez plus ce qui vous dépasse, ce qui est l'objet de votre désir suprême, de toute votre ferveur. Mais à présent il est trop tard vous avez renié Ala, aussi voulez-vous mourir, sombres hérétiques. C'est pour cette raison que vous êtes devenus des parias, vous hérétiques ne pouvez plus créer ce qui vous dépasse ce que Ala permet à ses disciples.
Et c'est pourquoi vous irritez la vie et la Terre, Ala. Il y'a une jalousie inconsciente dans le regard louchant de votre mépris.
Un peu comme ça :
Je ne suivrai pas vos voies, hérétiques. Vous n'êtes pas les ponts qui mènent au Surhumain.
Cependant votre espoir n'est pas si désesperé à condition de vous soumettre.
L'univers n'est pas assez vaste pour echapper au regard d'Ala.
Ainsi parlait-il.
Ceux que je ne peux faire plier par les mots le seront par ma lame.
Ce que pressent l'intelligence, ce que reconnaît l'esprit n'a jamais sa fin en soi. Mais l'intelligence et l'esprit voudraient te convaincre qu'ils sont la fin de toute chose; telle est leur fatuité. Cependant cete fin n'est seulement qu'un aspec d'Ala.
Intelligence et esprit ne sont qu'instruments et jouets; Ala se situe au delà, il voit par les yeux des sens et écoûte par les oreilles de l'esprit.
Ala est sans cesse à l'affût, aux aguets; il compare, il soumet, il conquiert, il détruit. Il règne sans partage, il est Maître.
Par delà de tes pensées et tes sentiments, mon frère, il y'a le Maître, puissant, un sage inconnu, Ala. Il habite ton corps, il est ton corps.
L'hérétique dit au fidèle : "Souffre à présent" Et il souffre et prie Ala pour ne plus souffrir
C'est à cette fin qu'Ala est.
Ala dit au fidèle : "Jouis à présent" Et le fidèle ressent la joie et prie Ala pour y goûter souvent encore.
C'est à cette fin qu'Ala est.
Je veux dire leur fait à ceux qui méprisent Ala. Leur mépris est la substance de leur respect. En méprisant Ala, ils placent leur respect pour lui au dessus de tout, incapables de l'exprimer. L'adoration d'Ala est inévitable, soumettez vous ou mourrez.
Mais qui a donc créé estime et mépris, valeur et volonté ?
Ala créateur, un autre de ses aspects a créé à son usage respect et mépris, il a créé à son usage la joie et la peine. Ala créateur a formé l'esprit à son usage pour être la main de son vouloir.
Jusque dans votre folie et dans votre mépris, contempteurs du corps, vous servez Ala. Je vous le dis, c'est en vous détournant d'Ala que vous mourrez, vous ne créerez plus ce qui vous dépasse, ce qui est l'objet de votre désir suprême, de toute votre ferveur. Mais à présent il est trop tard vous avez renié Ala, aussi voulez-vous mourir, sombres hérétiques. C'est pour cette raison que vous êtes devenus des parias, vous hérétiques ne pouvez plus créer ce qui vous dépasse ce que Ala permet à ses disciples.
Et c'est pourquoi vous irritez la vie et la Terre, Ala. Il y'a une jalousie inconsciente dans le regard louchant de votre mépris.
Un peu comme ça :
Je ne suivrai pas vos voies, hérétiques. Vous n'êtes pas les ponts qui mènent au Surhumain.
Cependant votre espoir n'est pas si désesperé à condition de vous soumettre.
L'univers n'est pas assez vaste pour echapper au regard d'Ala.
Ainsi parlait-il.
